•  

    ...J'aime ce petit rêve luisant ...

     

    Des lucioles sous terre! Pourquoi t'es pas un garçon?

     

    Tout est toujours à l'envers!


    votre commentaire
  • Petite(s) princesse(s)

     

    Sursaut de bonheur l'instant d'un sourir. Espoire qui court : "C'est Toi L'chat!"

    Chat? Miaulement furtif d'un souvenir, qui se répète infiniment...

    Des ombres sur un éscalier qui mène partout ou peut être nulle part!? Silouettes indécises sur les planche vermoulues d'un chemin de fer, perdues au milieu de vigne, une grande, une moyenne et un petit chat...

    Des silences qui mordent, des rires qui embrassent, une certaine agonie du temps dans ces yeux troubles. Des anneaux de fumée qui se répercutent sur une page blanche. Champignons et personnages parfaitement agonisants...

     

    Petit chat, petite soeur de mes nuits, infinie de douceur sont les pensées qui portent ton image!

    Des taches rouges sur le sol, virent au marron sal quand le temps passe. Et finalement?
    Finalement il n'y a rien, rien que tes yeux oü se  reflette le passé, qui déchire et meure lentement pour laisser place à cette pluie qui lave et purifie...

    ...Laissez Nous Tomber Dans Le Ciel...

     

    Infiniment seule à deux

     


    votre commentaire
  •  

     Des plaintes douces,

    Un être accroché à sa torpeur:

    Elle chante la petite fille ensorcelée

    Tournoie dans la neige sous le chants des corbeaux.

    Un lac gelé, figé éternellement.

    En dessous, créatures immondes

    Tournoient en envolant leurs nageoires en charpies,

    Elles guettent, s'ammoncellent au bord

    Des précipices insondable, morne.

    Petite fille aux plaintes innocente

    Prends garde aux dents pourries

    Soulignant le regard de chandelles

    Des êtres qui vivent au fond de cet océan d'humanité.

     

    Ho s'il vous plait laissez-moi loin de cette vie, seule sur une montagne, frigorifiée, ici il m'est impossible d'entendre la petite fille chanter!  Comme la pureté de ces monts inviolés m'appelle, ces villes lentement, mangent mon coeur!

     


    votre commentaire
  •  
     
     
    Tout est parti...
    Eclaboussant la porcelaine...
     
    Toute cette pureté blanche qui troue la peau, innacessible et inconnue... Laissez moi la toucher!
     
    J'veux... marcher sur la neigne sans y laisser de traces et courir comme le vent loin de cette vie, scotchée au sol par le poids de la démesure et de la faiblesse. Elles qui cachent la beauté sous une brume molle et sale.

    2 commentaires
  •  

     

    Parfois une petite araignée établi domicile au fon de ma tête...

    Elle me rend tarée... Et parfois elle pleure!

     

     

     

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    Elle est comme ça elle vit sur un fil presque inexistant...

     

     

     

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>Elle tisse une toile plus fragile qu'un rêve pour se faire croire qu'elle possède

    une maison...

    Une raison...

    Mais une petite araignée noire ça ne possède rien... Rien que le vide entre les fils de sa toile,

    juste un précaire équilibre pour ne pas basculer...

     

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

     

     

                                                                                      Juste un fil de secours... Au cas où elle choit du haut de son rêve transparent...

     

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique